MINISTRE D’ETAT ROBERT SAGNA PAR AILLEURS PRESIDENT DU GROUPE DE REFLEXION POUR LA PAIX EN CASAMANCE (GRPC) : « Le départ de Macky Sall peut impacter positivement ou négativement sur la Paix en Casamance. Tout dépend des initiatives que prendra ou ne prendra pas son successeur »

Scoopsdeziguinchor.com : C’est parce qu’il a l’obligation de par sa posture, mais également au-delà du constat et de l’appréciation de l’évolution du processus de paix en Casamance, de faire des propositions concrètes et convaincantes. Normal donc que dans cette interview accordée au Journal scoopsdeziguinchor.com que le Ministre d’Etat Robert Sagna par ailleurs président du Groupe de Réflexion pour la Paix en Casamance (GRPC) ait mis le doigt au centre des préoccupations des populations non sans manquer de préconiser des solutions pour faire évoluer positivement les choses. Et contexte sociopolitique oblige, l’ancien maire de Ziguinchor, président du parti RSD/TDS et artisan de paix a ainsi apprécié, entre autres, le départ prochain du président Macky Sall à la tête de la magistrature suprême et ses conséquences sur le processus de paix ; non sans manquer de livrer ses vérités par rapport à toutes les questions de l’heure qui concourent au retour à une paix définitive en Casamance. Entretien !

Casamance/Processus de Paix : Robert Sagna, le Maître du jeu

Scoopsdeziguinchor.com : Si la grandeur d’un homme se mesure à l’aune de ses actions pour la paix, le développement et sur la portée que celles-ci ont sur les populations, les communautés à la base, Robert Sagna aura été sans nul doute un grand homme d’Etat, un grand artisan de la paix. Car ce commis de l’Etat aura, durant ces trois dernières décennies, pesé de tout son poids pour l’avènement de la paix en Casamance ; cette paix tant chantée sous nos cieux

« Le Sénégal peut être secoué mais il résistera »: Après des mois d’incertitude, le président Macky Sall explique pourquoi il ne briguera pas un troisième mandat

Scoopsdeziguincor.com : A moins de huit mois de la présidentielle de ¬février 2024, Macky Sall a annoncé, lundi 3 juillet, qu’il ne briguerait pas un troisième mandat en février 2024. Cette question avait électrisé le débat et alimenté les violences de ces derniers mois ; l’opposition considérait en effet cette candidature comme « illégale ». Le président sénégalais explique les raisons de son renoncement, ses ambitions pour l’avenir et fait le point sur ses relations avec ses opposants et avec la France. Entretien…

Interview Seydou Sané : Inspecteur de l’Education, Ancien Président du Crédit Mutuel Sénégalais CMS/BIMAO, Seydou Sané est actuellement 1er adjoint au maire de Ziguinchor et Président du Casa Sports

Scoopsdeziguinchor.com : Il avait toujours été à équidistance des chapelles politiques ; préférant se consacrer à sa carrière professionnelle, d’apporter son expertise aux institutions financières et d’accompagner les couches sociales de son terroir. Mais ces dernières années, l’homme au cursus prestigieux et aux multiples casquettes a refait surface pour explorer d’autres horizons. D’abord le monde sportif avec le casa-sports puis la sphère politique en tant qu’élu territorial à la mairie de Ziguinchor. Aujourd’hui c’est pour davantage aider le président de la république Macky Sall à piloter la barque Sénégal qu’il a décidé de s’investir plus que jamais pour la matérialisation des politiques publiques au profit des populations sénégalaises. Il s’appelle Seydou Sané il est président du Casa-sports, 1er adjoint au maire de Ziguinchor et a à son actif de plusieurs distinctions nationales et internationales. Et c’est parce que son engagement pour la cause nationale reste entier que l’ex-pensionnaire de la Sorbonne ne fait plus mystère de ses ambitions politiques ! D’ailleurs il sort sa bobine du bois et se dévoile dans cette interview !

ENTRETIEN AVEC… Jean Alain Goudiaby, Dr en sociologie : «Les inégalités sont criardes à l’école»

Scoopsdeziguinchor.com : Depuis quelques années que le Sénégal a adopté la réforme Licence-Master-Doctorat (Lmd), l’Université est devenue le champ de toutes les contestations. Une situation que l’on retrouve plus globalement dans tout le secteur éducatif sénégalais. Résultat, l’école sénégalaise est malade. En marge de la deuxième édition du «Gingembre littéraire» qui s’est tenue les 4 et 5 décembre dernier entre Ziguinchor et Sédhiou, Dr Jean Alain Goudiaby, qui pose ce diagnostic, propose également des solutions.

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