Scoopsdeziguinchor.com : « Gouvernance et luttes d’influence politique au Sénégal de 1960 à 2000 » ! Un ouvrage de l’enseignant-chercheur et chef du Département d’Histoire et de civilisations à l’université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ) Mohamed Lamine Manga. Un ouvrage publié à la Maison d’édition l’Harmattan et qui analyse la trajectoire politique du Sénégal de Senghor à Wade
La cérémonie de présentation et de dédicace de cet ouvrage intitulé « Gouvernance et luttes d’influence politique au Sénégal de 1960 à 2000 » a été organisée ce samedi à l’Alliance Franco-sénégalaise de Ziguinchor. Une cérémonie qui s’est déroulée en présence de la directrice de l’Alliance et de ses collaborateurs, des professeurs Nouha Cissé et Amadou Fall, des étudiants de l’UASZ, de l’intelligentsia locale, des proches de l’auteur et d’un public venu nombreux. Tout un beau monde qui a eu droit à la présentation du second ouvrage de l’enseignant-chercheur Mohamed Lamine Manga.
Le chef du département d’histoire et de civilisations de l’UASZ et historien de l’époque moderne contemporaine avec Mention histoire politique qui, après son 1er ouvrage « La Casamance dans l’histoire contemporaine du Sénégal », vient à nouveau de gratifier la communauté littéraire et le landerneau politique sénégalais de son 2nd ouvrage. « Gouvernance et luttes d’influence politique au Sénégal de 1960 à 2000 » qui dissèque en réalité la proclamation de l’union française de 1946 à 2000. Et ainsi à travers cet ouvrage, l’auteur Mohamed Lamine Manga tente d’analyser la trajectoire politique du Sénégal, notamment celle de la période qui a consacré l’avènement de la 4ème République Française et qui sera le début d’une recomposition au sein de l’échiquier politique sénégalais.
Témoin de l’histoire, le Professeur Amadou Fall qui a eu l’honneur de présenter deux chapitres de cet ouvrage, s’est réjoui de l’organisation de cette grande rencontre ; un cocktail scientifique, dit-il, à l’actif du Professeur Mohamed Lamine Manga dont l’oeuvre constitue, argue-t-il, une piste pour une future école d’histoire de la Casamance.
